Things like that only happens after having spent a way too lazy day…
A force de glander, on se retrouve sur des blogs qu’on avait perdu de vue. Genre celui d’une demoiselle répondant au doux (ou pas) nom de Noémie. Et on se rends compte que la demoiselle est fortement fan de Muse, que la moitié des titres de ses articles sont des paroles de chansons du susdit béni groupe, et que donc, leur réelle et substentielle signification échappe à beaucoup, sauf aux réels amateur du groupe. Je sais je m’emporte.
Quel rapport avec mon voisin ? Hé bien, vu d’ici, aucun. J’y arrive…
La lecture de ce blog, et de toutes ces belles paroles, réveille forcement quelque chose en moi, quelque chose qui me dit que ça fait honnetement quelques jours (!) que je n’avais pas écouté de Muse. Oui je sais, c’est ignoble. Et puis on se dit que diantre elle a raison d’avoir appeller son blog www.mapofmyhead.jesaisplusquoi*, et de dire qu’Invincible est une chanson superbe.
Enfin, venons en aux faits, ça m’a donné envie d’écouter du Muse. Ce qui apparement n’était pas au gout de tout le monde. Bon, je le confesse, ce qui n’était pas forcement au gout de tout le monde, c’est le fait de l’écouter (un poil) trop fort.
Ca m’aura au moins permi de rencontrer mon voisin, qui est chaleureusement venu m’injurier devant ma porte.
Ou comment se faire d’emblé une bonne réputation.
* « Map of your head » est une chanson de Muse, voilà.
[1 Dream]
le 27 novembre 2006 à 19 h 14 min dans Le Site
Vous n’êtes pas sans savoir que noël arrive à grand pas, les girlandes dans tous les sens et les agents EDF dans toutes les rues sont là pour vous le rappeler. Et comme tous les ans, dans ce petit monde qu’est internet, et bien on se sent con. A se fêter un joyeux noël virtuellement, d’une façon aussi vide qu’impressonnelle…
C’est pourquoi voici venu Le Noël du Perco ! Pour rendre votre noël cybernétique plus réel que jamais, et vous retrouver avec un cadeau en plus sous le sapin, et un cadeau en plus à offrir.
Dans le concept, c’est une sorte de grande chaine de l’amitié et de l’amour blogospherique, dans laquelle on s’échange des cadeaux, dans la joie et la bonne humeur. Pour toutes les infos qui vont bien, y’a qu’a aller se balader sur le mini site du Noël du Perco, en cliquant sur l’image juste en dessous.
[2 Dreams]
Aujourd’hui, j’avais pas cours l’aprèm. Alors tranquilou, j’ai concocté le Noël du Perco, j’ai maté quelques épisodes d’onques séries, et c’est à peu près tout.
Seulement, ce matin, j’avais dans ma jolie boite au lettre tout de fer vétue, un avis de passage de Mr Chronopost. Oui bon j’attendais un colis, il est arrivé, mais comme je m’y attendais, il faut aller le chercher au bureau de poste. Je dirais même plus, au bureau de poste « La rafale », un nom évoquateur quand on considère le fait que ce susdit bureau ce trouve au beau milieu d’un joli parc de HLM tout de tags vétus, et en face de nos ruines libanaises locales (oh rien qu’un vieil immeuble pourri qu’ils ont fait peter la semaine dernière, c’est sympa chez moi).
Enfin bref, donc, ayant l’aprèm à moi, je passe regler un contencieux banquaire à la banque, avant de me mettre à la recherche de la rafale. Le bureau de poste, souvenez vous. Je cherche, je cherche, mais celui-ci étant au milieu des HLMs, chercher en voiture n’est pas vraiment efficace. Une fois avoir compris ça, je continue à pied, et je trouve finalement la rafale.
La blague. Encore un coup de Besansno ça. Le bureau de poste fait en gros un mètre de large pour un mètre de long, et, gateau sur la cerise, il est fermé. Je regarde les horaires d’ouverture, et là, deuxième blague :
9h00 – 11h05 (appreciez l’effort du 05)
14h15 – 16h15 (parce qu’il faudrait pas se fatiguer).
Réaction primaire : « saleté de facteurs ».
Réaction secondaire : Reverifier l’avis de passage du livreur, juste histoire d’être bien sûr du foutage de gueule. Oui parce que vous me direz, pourquoi diantre j’y suis pas allé plus tôt. Ca parait simple, mais l’avis de passage disait que mon colis serait disponible à la rafale à partir de 16h05…
… à partir de 16h05… fermeture à 16h15…?
La blague.
Du coup, je me console en buvant (de l’orangina, je suis un rebel) et en mangeant du brownie. Salauds de facteurs.
[No Dreams]
Voilà longtemps qu’on était pas aller boire un verre dans un bar.
Voilà longtemps qu’on était pas resté près de deux heures à se voir.
Non, je cherche pas à faire des rimes, ni rien du tout.
Ca t’as fait du bien, sûrement, et à moi aussi. Je suis encore sur le mini coup de coup de blues qui suit quasiment immaquablement les moments où on se sépare. J’aimerais tellement qu’on ait pas à se quitter si vite, que ca soit pas si court. Que ca soit comme avant, où par on ne sait quel hasard, ou quel miracle, on se retrouve le lendemain matin encore ensemble.
J’ai pas envie de rentrer à Reims. Ce week end aura été si court, c’est hallucinant. Une soirée Trivial, une aprem à rédiger mon cahier des charges, une scéance de cinéma, quelques minutes dans un bar, et nous voilà dimanche, 2h30 du matin. Je vais aller me coucher, et à mon reveil, ca sera rédaction, suite et fin, ensuite je reviendrai te voir, et puis je m’en irai vers mon chez moi, où je finaliserais mes dossiers pour lundi.
Le week-end sera fini, et j’aurai comme toujours pas eu ma dose.
[No Dreams]