le 27 novembre 2008 à 1 h 18 min dans Euh, non, rien...
Le truc génial avec les épisodes de House, et qui d’ailleurs l’est toujours autant quelque soit l’épisode, c’est qu’à chaque fois y’a un truc que je kiffe : le générique. Ils ont été bien balese de foutre ‘Teardrop’, de Massive Attack, qu’est juste un absolu délice à entendre à chaque fois (à condition d’avoir des bonnes basses, merci mon Sennheiser).
[No Dreams]le 26 novembre 2008 à 21 h 51 min dans In my world
Ca commence à devenir tendu là. On est bientôt en décembre, et donc, on est bientôt en Janvier, et donc, je suis bientôt sensé être en stage. Deux soucis pourtant : – J’ai toujours pas de stage. – J’ai pas envie d’aller en stage.
Sauf que pour trouver un stage, il faut en chercher un. Et pour un chercher un, il faut savoir ce qu’on veut. Pour savoir ce qu’on veut, il faut déjà vouloir quelque chose. Vous me suivez ? Donc très logiquement, pour trouver un stage, il va bien falloir que je me dise que j’ai pas le choix : il faut que je veuille partir en stage. Comment ça ça ne se décrète pas ?
Sinon autre suite logique super passionnante du style, j’ai ça (version courte) : Début Décembre > Fin Décembre > Nouvel an + Anniversaire.
Nouvel an, y’a rien qui me saoule plus qu’un nouvel an à part peut être la fête de la musique, traditionnellement la fête la plus ratée de l’année. De toutes façons, j’aime pas ce genre de fête institutionnelle, pas spontanée, où des mois à l’avance tu sais très bien que toi et tes semblables vous allez y passer, et y’a juste pas d’échappatoire. Quoique j’ai un avantage cette année, si que si tout se passe (pas) bien, je vais pouvoir pourrir un peu l’ambiance quand minuit sonnera, et gueuler « bonne année, j’ai 21 ans et ni copine ni de stage ! ».
Reste à savoir lequel me fait plus chier.
Dans un prochain article je vous expliquerai comment je suis (presque) devenu un footeux alors que je les conchiais il n’y a pas si longtemps que ça. D’ailleurs le match à repris, je vais faire le steak.
[3 Dreams]le 25 novembre 2008 à 21 h 25 min dans In my world
Depuis la rentrée je rate à peu près toutes les soirées ou rendez-vous de la vie de l’école, tout ça… J’en ai genre plus rien à foutre, et ça ne me passionne plus. Est-ce que ça m’a un jour passionné d’ailleurs ? Je ne crois pas, étant donné que je n’excelle pas à l’exercice social. J’ai aimé être de l’autre côté de la barrière, même si l’image que ça laisse de moi pour les gens qui ne me connaisse que par là est pas franchement bonne, en tout cas j’en ai l’impression. Au final je ne sais pas vraiment si tout cela valait le coup, mais au jour d’aujourd’hui je pense qu’on peut affirmer une chose : On s’en tamponne.
Il me reste donc les moments plus « vrais », où on peut tout simplement rester à discuter pendant un cours de chinois qui n’aura jamais lieu, ou sur le chemin de la salle détente et sa sacro-sainte machine à café. Puis y’a tout le reste autour, je me reconcentre sur d’autres choses. L’ambiance « école de commerce », c’est sympa, mais quand on est pas à fond dedans, ça lasse vite.
Au fait, le concert de Death Cab for Cutie de ce week-end était pas terrible… Principal soucis ? Le seul bon point du concert, c’est que c’était Death Cab, donc forcement. Mis à part ça… public de merde, tracklist qui sent mauvais, la moitié du concert pour enfin bien régler le son, et surtout, euh, on a le droit de participer, non ? Je sais pas, putain, pour ceux qui connaissent Death Cab, c’est LE groupe dont t’as juste envie de chanter les paroles avec toute la foule. Bah vas dire ça au groupe, parce que pour le coup, ce sont leurs chansons, et fuck off si tu voulais qu’il en ai quelque chose à foutre du public.
Puis de toutes façons quand un groupe commence le concert en disant « Hi were are Death Cab for Cutie, from Seattle », et finit en disant… « Hi were are Death Cab for Cutie, from Seattle », ça sens forcement le fromage. EUH, hay, ouais toi le lover avec la mêche, on est pas con, on a payé 30 $ le billet pour venir vous voir…
Dans un prochain article, je vous expliquerai pourquoi j’en ai marre des conducteurs à Reims, qui sont putain de LENTS. Vous verrez c’est passionnant.
[No Dreams]le 22 novembre 2008 à 15 h 19 min dans In my world
Je crois que tout est dit. Bon, vous n’avez rien vu, mais c’est pourtant assez clair : j’ai mis 5 minutes à commencer à écrire quelque chose.
Je ne sais plus trop quoi faire d’ici. Je ne sais plus grand-chose tout court à vrai dire. Entre la personal life qui a du plomb dans l’aile, et la professional life qui ne sait pas où elle va, il y a beaucoup plus de questions que de réponses ces jours-ci. Je n’ai pas forcement envie de graver tous les détails dans la base de donnée, si j’avais voulu le faire, je l’aurai fait depuis un petit bout de temps.
Le fait est que depuis quelque temps, et je suppose que vous avez remarqué, ce site ressemble plus à un panneau publicitaire vide de sens qu’à autre chose. Entre True Blood, Anathema, et les vidéos de chats, il n’y a plus aucun contenu perso, et même ce blog commence à manquer de sens, preuve de plus que plus grand chose n’en a en ce moment.
Je n’ai plus ce petit moteur qui me faisait avancer, et je me retrouve encore une fois devant un graaaaaaaaand trou noir. Je n’ai pas la moindre idée d’où je serai et de ce que je ferai dans les mois à venir.
Si seulement il n’y avait qu’un aspect de touché, ça irait. Peut-être. Mais non, il n’y a plus rien de fixe et certain autour de moi, et je ne peux pas blâmer les autres d’avancer sur leur chemin. Seulement je vois tout le monde autour de moi construire quelque chose de solide, avec quelqu’un, dans un boulot, etc. J’ai l’impression de rester sur le quai. Et même les choses qu’on croit toujours stables ne le sont pas, ou plus. C’était qu’un mensonge qu’on se disait, pour se rassurer, mais au final.
NB : Thx to Tony for the title & the music :-)
[2 Dreams]le 14 novembre 2008 à 0 h 38 min dans In my world
Minuit de demi passé. Il est sensé faire nuit depuis un bout de temps, mais il y a des lumières qui ne s’éteigne jamais. Même en dehors des rues, impossible d’obtenir une nuit complète et noire. T’as toujours le ciel qui réverbère toutes les conneries qu’on lui envoie et qui devient comme les jouets phosphorescents des gosses, ou une télé qui est restée allumée trop longtemps : Même toutes lumières éteintes, tu les vois toujours. Alors du coup, même en pleine nuit, tu y vois presque trop clair. Tu vois les chats qui pensent être seuls. Tu vois les gens qui remontent la rue rapidement, en fixant le sol, ayant tellement peur d’être seul dans une rue déserte (?).
Et je suis à la fenêtre, rien d’autre à foutre, et j’observe les lumières qui sortent à peine des apparts d’en face, et j’imagine ce qu’il se passe dernière les volets. J’imagine les gens qui glandent à minuit et demi du soir, surement devant leur télé ou leur écran, et j’espère pour eux qu’ils éteignent la lumière pour toute autre activité. Je les imagine glander, en espérant peut-être que ça me donne un peu d’inspiration.
[No Dreams]
