[Nice Dream]

Archives de la catégorie ‘Séries’

The Office – Saisons 1 à 3

le 22 août 2007 à 18 h 27 min dans Séries

The Office, aaaah The Office… Quelle série, mais quelle série. A ne pas confondre avec son homologue français "Le Bureau", qui n’est pas du tout la même série. De même, il ne faut pas confondre The Office (US) avec The Office (UK). Vous l’aurez deviner, l’une est américaine, l’autre est anglaise.

Ici c’est bien la version US qui nous interesse, et pour cause, c’est la meilleure, et de loin. Dans le petit monde de la comédie, Friends et autre Arrested Developpement reignaient en maitre jusqu’à ce que je finisse ces trois premières saisons de The Office. Et mesdammes messieurs, je crois bel et bien que Friends accuse le coup de ces longues années de service, et est maintenant bien dépassé.
 
The Office, c’est l’histoire d’une petite branche d’une compagnie qui vend du papier, j’ai nommé la grande Dunder Mifflin, et plus précisement la branche de Scraton, une petite et paisible ville de Pennsylvanie. Ce petit bureau est mené par le maintenant ultra-mythique Mickael Scott, qui n’est autre que le monumental Steve Carell (vu dans le superbe Little Miss Sunshine, et le tout pourri Evant tout puissant), et compte parmis ses illustres employés des gens aussi divers que géniaux, tels Dwight K. Schrute, joué par Rainn Wilson (vu dans Six Feet Under, saison 4), ou encore Pam, Jim, Stannley, et j’en passe.

Bref, plein de gens super à découvrir pour les non initiés. Découvrir une fois, puisqu’une fois attaché à ces personnages sans fioritures, on ne les lache plus, et je pusi bien dire qu’on les aime. A ce point là, oui. Mais me direz vous, c’est comique, alors pourquoi c’est drole ? Parce que, Mickael Scott, le manager, est un boulay fini, et que ses conneries sont hillarantes, qu’il est joué par un Steve Carell juste grandiose. Parce que Dwight est un gros nerd fan de Star Wars et de Lord of the Ring, et qu’il est joué par l’impressionnant Rainn Wilson. Et c’est la même chose pour tous les acteurs. Chacun des personnages de The Office collera sans aucun doute à la peau de leurs acteurs jusqu’à la fin, tant ils sont vrais, et impressionant de réalisme.

Et zeus que c’est hillarant. Je pouffe de rire rien que d’y penser, c’est dire… Sans l’ombre d’un doute l’une des meilleures séries comiques jamais crée, et clairement la meilleure encore en activité. Bref, The Office, c’est succulent, mangez-en. Si pour une fois vous deviez ne vous fiez qu’à mes mots, faites le ce coup-ci (et puis pour tous les trucs que je dis que c’est bien). Enfin, longue vie à Mickael, Dwight, Pam, Stannley, Jim, Karen, Tim, Toby, Kevin (je t’aime), et tous les autres…

And remember : "It could shred a credit card !"

19/20 (gros coup de coeur)

[3 Dreams]

Six feet under

le 16 juillet 2007 à 16 h 23 min dans Séries

2 jours et demi. Entiers. C’est le temps qu’il faut, en gros, pour venir à bout des 5 saisons de Six Feet Under. Je l’ai fait par impulsion, entendant tout le bien qui se disait de cette série. Je ne m’attendais à rien, et donc surtout pas à ça.

Six Feet Under est une série pourtant relativement vieille et finie depuis maintenant deux ans. Et pourtant, sa qualité surpasse, dans son domaine (humour / drame), largement tout ce que j’ai pu voir jusqu’ici. Tout. Oubliez Desperate Housewives et consors, même si ces séries sont très bonnes, elles n’arrivent pas à la demie cheville de Six Feet.

Quoique c’est un domaine different, Six Feet semble tellement à part, tellement originale et forte que la comparaison avec une autre série n’a pour moi même pas lieu d’être.

C’est dire tout le bien que j’en pense. Ses qualités sont innombrables. Ses défauts sont parfois génants. Mais allons, dans le vent, je citerai la qualité de la photographie, l’intensité de certains passages, le décalage du scénario… et j’en passe…

Et puis le serie final. L’ultime et dernier épisode de la saison 5. Magique, forte, sublime. Une fin d’anthologie, et clairement le meilleur serie final que j’ai eu à voir jusqu’ici. De loin, de tellement loin…

Sans que je m’y attende, Six Feet Under vient de surclasser toutes les séries que j’ai vues jusqu’ici… Là comme ça, en se finissant. Elle vient se placer tranquillement aux côtés d’Arrested Development, son homologue dans le domaine de la comédie.

Mythique.

[No Dreams]

Dexter – season 1

le 8 février 2007 à 19 h 48 min dans Séries

Dexter, retenez ce nom. Pourquoi ? Euh, principalement parce que c’est bien et que ça passera bientôt sur Canal et qu’il faut pas le rater pour peu qu’on aime les séries.

Dexter est un gars pas comme les autres. Je sais, c’est une phrase bateau, mais le fait est que le bougre est un sérial killer. Mais un sérial killer soigné, méticuleux, qui se fait pas choppé au moindre crime, sinon c’est pas drôle, il finit en taule et nous revoilà devant Prison Break… Donc, notre ami Dexter a un souci, c’est que comme vous et moi, il a besoin de manger, de boire, mais aussi de tuer. C’est comme ça, il l’a pas choisi… Mais comme en plus d’en avoir besoin, il aime ça, il est devenu médecin légiste spécialisé dans le sang. Projections de sang, taches de sang, bains de sang, bref, il aime ça.

Voila pour le résumé, et encore il en manque la moitié, mais la première saison ne faisant que 12 ou 13 épisodes, il ne faut pas trop en dévoiler. Du coup, je ne sais pas quoi dire, tant cette série est, non pas complexe, mais complète. Le personnage principal est un des meilleurs que j’ai vu depuis un bail, l’histoire est monstrueusement accrocheuse, le jeu de l’acteur principal frôle la perfection, le ton de la série est jouissif à souhait… Et, chose assez rare pour être signalée, la saison 1 se finie. Pour de vrai, avec un vraie fin qui ne fait pas attendre une deuxième saison, avec un vieux suspens plus commercial que vraiment nécessaire. Et ça, c’est appréciable.

Je vais pas m’étendre 300 ans, sachez simplement que Dexter fait partie des toutes meilleurs séries que j’ai vu depuis quelques temps, bien au dessus de Prison Break pour n’en citer qu’une.
Une série pleine de qualité et qui ne cherche pas a faire du grand spectacle. Simple, et géniale, tout ce qu’on attends d’une série.

Type : Série TV, 1ère saison (12×52 minutes).
Nom : Dexter.
Genre : Cynique et passionnant.
Points forts : Accrocheur, perso principal profond, un méchant charmismatique, le ton de la série, une vraie fin, le générique !, etc…
Points faibles : Le coup du sérial killer justicier, j’avais deviné la fin avant la fin ?
Note : 18.5/20.

[No Dreams]

Arrested Developement

le 25 novembre 2006 à 17 h 04 min dans Séries

Attention, grosse série ! Ouais bon je sais, vous n’en avez surement pas entendu parler, et d’ailleurs moi non plus, en tout cas pas avant de surfer sur onques sites ricains de séries TV… Et je vois ce nom, Arrested Developement, je lis l’histoire, ca ne m’emballe pas trop au premier abord :

Un père de famille, patron d’une grosse société qui fait plein de sous, se fait arreter pour s’être servi a grande pelleté dans les comptes de la dite entreprise. Du coup, hop, en prison le papa. Le fils donc, Mickael Bluth, se retrouve a devoir gerer toute la petite famille, et la société en chute libre… quand il se rend compte que toute la famille se servait dans les comptes, sauf lui. La mère, la soeur, les frères, le beau frère, personne ne glande rien, mais tout le monde à la belle vie… Sauf que maintenant que le père est en prison, et bah rien ne va plus…

Voilà en gros le synopsis, mais ce n’est que pretexte, comme souvent dans les séries de qualité, à mettre en scene des personnages, que dis-je, des personnalités tout simplement géniale, fabuleuses, et purement hilarante.

Ca commence avec le fils de Mickael, sobrement appellé George Mickael, puis ca s’enchaine avec frère magicien raté, la mère égoiste au possible, la soeur completement à côté de la plaque, et j’en passe… J’en passe, sauf le beau-frère, monstre d’humour et de réussite, j’ai nommé Tobias, qui, après avoir perdu sa licence de médecin, se lance dans son rêve d’enfance : devenir acteur. Et il n’a bien sûr aucun talent…

Que ca soit de l’humour de situation, de geste, ou alors purement des blagues s’apparentant à du génie, le moins que l’ont puisse dire c’est qu’on s’éclate a longueur d’épisode. L’humour n’est pas gras, toujours fin sans être prise de tête, bref, savament dosé pour être dégusté sans modération.

L’histoire principales et les histoires secondaires ne sont pas trancendantes, mais rien de génant, on prend plaisir à suivre tant l’humour est toujours de haut niveau. Le point noir reste la réalisation, qui est du type « je suis tout seul et je porte ma camera sur l’épaule ». C’est un style, mais personnellement j’aime pas, ca bouge tout le temps et certains épisodes donne franchement la migraine. Mais ca ne concerne que quelques épisode, et le tout s’améliore quand même pour la deuxieme saison (ou alors on s’habitue, je sais pas).

Enfin, si vous cherchez une série comique de qualité, Arrested Developement est de premier choix. Et même si vous ne cherchez pas, foncez sur cette série, qu’il serait dommage de rater tant c’est de la poilade toutes les 5 secondes. L’une des meilleurs séries comique qu’il m’ai été donné de voir depuis un bail, tout simplement.

Nom : Arrested Developement
Type : Série comique
Par : Mitchell Hurwitz
Saisons : 3 pour 53 épisodes de 20 minutes.
Prix : Gagnant de l’Emmy award (sortes d’oscar des séries) de la meilleur série comique en 2003.
Points forts : Personnage géniaux, humour génial, série géniale…
Points faibles : La réa « caméra sur l’épaule », et encore…
Note finale : 19/20.

[No Dreams]